Dans ces précédents ouvrages, elle s’est livrée à une introspection sans concession et s’est confiée sur des sujets très intimes comme la mort tragique de son frère Louis, ses relations avec sa mère Lili, ses premières amours, sa relation torride à 13 ans avec un célèbre acteur, membre de la Comédie française, de trente ans son aîné, ses relations avec l’homme qui a partagé sa vie de femme mais il est un secret qu’elle a toujours gardé enfoui sous des mots. Un secret qui est au cœur de son œuvre. Un secret qui palpite en elle depuis toujours. Dans son dernier livre, elle se livre à une véritable auto-psychanalyse, à une véritable catharsis pour expurger ce secret, ce secret existentiel sur lequel est bâtie toute sa vie et autour duquel elle s’est construite.
Le lecteur subjugué attend que l’auteur lève le voile sur ce secret et brûle de savoir la vérité lorsque les masques tomberont et que la vérité émergera des faux-semblants, des illusions. L’auteure de main de maître nous entraîne dans les arcanes de cette psychanalyse lacanienne intime et salvatrice. En dire plus serait spolier ce livre magnifique … et ce serait fort dommage.
L’auteure: Nathalie Rheims est écrivain. A l’âge de 17 ans, elle entre au conservatoire de la rue Blanche et poursuit une carrière de comédienne pendant sept ans. En 1985, elle devient productrice. Ne vois-tu pas que je brûle est son vingt-cinquième livre. Elle est la fille de l’académicien Maurice Rheims et de Lili Kramer, la sœur de Bettina Rheims, la célèbre photographe et de Louis Rheims mort à 33 ans pour qui elle a écrit son premier roman L’un pour l’autre en 1999.
Catherine Merveilleux
Ne vois-tu pas que je brûle.
Un livre romanesque et autobiographique de Nathalie Rheims.
Editions Léo Scheer
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Touche pas à mon Toursky, sans lequel le coeur de Marseille ne bat plus.
Parce que le projet de la ville est destructeur d’un haut lieu culturel symbolique, alors que celui du Toursky est toujours autant porteur de vie et d’espoirs. Parce que le Toursky se
mérite.
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