Catherine Merveilleux : Benjamin, après quelques années de silence, tu te remets à composer. Pourquoi cette absence et pourquoi ce retour ?
Benjamin Balensi : J’ai créé Orchestra Studio en 2013. Je n’avais pas perdu le désir de créer, bien au contraire, mais je me suis consacré pendant
quelques années, et avec plaisir, à la transmission.
C.M. : Peux-tu nous rappeler le concept d’Orchestra Studio ?
B.B. : C’est une école où sont dispensés des cours de musique (guitare, piano etc …), de chant, de théâtre, de bien-être (yoga, pilates) et de danse
pour enfants et adultes. L’école accueille aussi les enfants de moins de huit ans pour un éveil musical à la danse et au théâtre et les enfants et ados pour l’apprentissage d’un instrument et des
créations de clips.
Depuis la création de l’école, je me suis entièrement consacré à celle-ci, mais l’apparition de la pandémie de la Covid_19, le confinement et les mesures sanitaires
qui interdisaient la présence des élèves pour l’apprentissage d’un instrument et la danse m’ont libéré du temps pour à nouveau créer. J’ai pour ainsi dire renoué avec mes premières amours, c’est à
dire la création musicale, n’ayant plus que 20 % de mes activités à Orchestra Studio.
C.M. : Comment définis-tu ta musique ?
B.B. : C’est de l’EDM (électronic, dance, music).
C.M. : Quels sont ton cursus et ta formation ?
B.B. : Au départ, j’ai une formation très classique. J’ai suivi les cours du Conservatoire de musique de Marseille puis j’ai étudié la Musicologie à Aix-en-Provence. En tant
qu’artiste, j’ai travaillé pour différents labels comme Sunshine Records, Discoball et Peaktime Records.
C.M. : De quelles influences te revendiques-tu ?
B.B. : Incontestablement le disco, le funk et l’électro.
C.M. : Combien de titres as-tu créés pour cette sortie très attendue ?
B.B. : J’ai créé 4 titres et chacun d'eux se décline dans une version radio et une version club destinée aux festivals.
C.M. : Comment se fera la sortie du 9 avril ?
B.B. : Ce sera une sortie digitale sur les plateformes Spotifly, Apple Music et Deezer. Tout est entièrement auto-produit.
Pour ma part, j’ai adoré. Les quatre titres Oye, Shimmy up, Bring me up et Five hours redonnent une sacrée pêche, en contraste avec la sinistrose ambiante sur fond de
pandémie. Les fans de Benjamin qui avaient adoré Samba De Calypso, Just Let You Know et To the Top vont adorer.
site artiste (en construction) : benjaminbalensi.com
Catherine Merveilleux
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