Ce qui frappe tout d’abord dans ces manifestations, c’est le fait que les manifestants appartiennent à toutes les catégories sociales. Jeunes, familles, retraités, cadres, professions libérales, gilets jaunes, enseignants, infirmiers, militants politiques ou esprit libres non encartés. Ils défilent en scandant le mot « Liberté », dans le calme et la retenue, il n’y a ni casseurs ni black blocks dans leurs rangs. Fait nouveau dans les manifestations en France : ils arborent des drapeaux français bleu, blanc, rouge. Certains sont vaccinés, mais s’insurgent contre la pass sanitaire, certains sont farouchement opposés à la vaccination contre la Covid. Ils ne sont pas anti-vaccin, mais ils n’ont pas confiance dans ce vaccin qui est encore en cours d’expérimentation et ce jusqu’en 2023. Tous déclarent ne plus avoir confiance car les politiques, estiment-ils, leur ont trop menti et les ont trop trompé depuis le début de la pandémie. Ils craignent surtout les effets secondaires et les séquelles d’un vaccin sur lequel, la science n’a aucun recul. L’ARN Messager, notamment, leur fait très peur surtout en ce qui concerne les enfants. Leurs arguments sont étayés, réfléchis, non dénués de bon-sens et beaucoup estiment que seule l’immunité collective naturelle parviendra à juguler ce fléau car force est de constater que même des personnes ayant reçu leurs deux doses de vaccin sont néanmoins contaminées et malades. Ce qui est pour le moins inquiétant et préoccupant. Ils estiment qu’il faut booster les défenses immunitaires et surtout veulent sauver le système immunitaire naturel.
La manifestation de ce samedi à laquelle, j’ai assisté, s’est déroulée dans le plus grand calme et a duré tout l’après-midi, sans aucun débordement. Plusieurs milliers de manifestants, tous âges confondus y participaient et ils se sont rendus du Vieux-Port au Stade Vélodrome. Ils ne sont ni des complotistes, ni des anti-systèmes qui cherchent à semer le chaos. Ils veulent juste comprendre et avoir confiance dans ce que leur ordonnent avec condescendance les politiques. En effet, comment accepter qu’il faille absolument se faire vacciner contre une maladie que l’on peut avoir de manière asymptomatique, c’est à dire sans le savoir, sans fièvre et sans symptômes, avec un vaccin qui n’empêche pas d’avoir la maladie même si l’on a reçu les deux injections et dont on ne connaît pas les séquelles à long terme car ce vaccin est en cours d’expérimentation.
D’autre part, comment ne pas penser que si nos dirigeants ne rendent pas le vaccin obligatoire, c’est peut-être parce qu’il est en cours d’expérimentation jusqu’en 2023 et qu’ils ont peur assumer
leur responsabilité. Tant que le vaccin n’est pas obligatoire, nous avons la liberté de nous faire vacciner ou pas. S’il y a des effets secondaires, nos dirigeants n’auront pas à assumer les
conséquences juridiques et éthiques inhérentes à cette obligation. Néanmoins, il est bien évident que cette non-obligation est une hypocrisie car sans pass nous n’avons plus aucune vie sociale et que
nous sommes de ce fait acculés à nous faire vacciner.
Bref, sans être complotiste, il y a de quoi se poser des questions…
Catherine Merveilleux
#manifestationmarseille, #antipass, #antivax, #catherinemerveilleux, lejouretlanuit.net, #marseille, #vaccination, #raoult_didier
Nous avons la chance de vivre dans une démocratie où nous avons le droit de vote. Ce que bien des peuples nous envient. Or que constatons nous ? Les Français ne votent plus. Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont plus confiance.
Dans une lettre ouverte, des militaires, et parmi eux des généraux à la retraite, exhortent ceux qui dirigent notre pays à «appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà afin d’éviter une guerre civile».
Dans une lettre ouverte, des militaires, et parmi eux des généraux à la retraite, exhortent ceux qui dirigent notre pays à «appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà afin d’éviter une guerre civile».
Depuis les restrictions sanitaires liées à la pandémie du Covid, tout plaisir nous est interdit. Il est interdit de danser, de faire la fête, de voir ses amis. Nous vivons une véritable prohibition. Tout ce qui est de l’ordre du divertissement est considéré comme non essentiel. Cette réflexion me fait penser à ce que Montaigne et Pascal écrivaient à propos du divertissement qu’ils jugeaient futile et superfétatoire.
« Le XXIème siècle sera spirituel ou ne sera pas ! » aurait déclaré dans une citation considérée comme apocryphe André Malraux, romancier, combattant, résistant et ministre de la Culture sous Charles de Gaulle. Quoiqu’il en soit, sa prophétie qui paraissait sur le point se réaliser semble s’avérer obsolète.
Cette inquiétude est réciproque. Nous aussi on s’inquiète pour eux…
Jérôme Salomon a déclaré cette semaine : « La crise sanitaire a révélé la vulnérabilité psychique de nombreux Français » et a ajouté « On observe une augmentation importante des états dépressifs.
« J’aime mieux attraper le Covid_19 dans un pays libre qu’y échapper dans un pays totalitaire ! » a déclaré le philosophe André Comte-Sponville. Or, notre gouvernement nous impose des lois liberticides qui sacrifient les nouvelles générations sous le fallacieux prétexte de protéger les personnes vulnérables et les personnes âgées.
Les commerçants, les restaurateurs de France n’ont jamais demandé à être des assistés. Ils ne demandent qu’à travailler, qu’à créer, qu’à bâtir et on leur demande de devenir des assistés. C’est une tragédie économique, psychologique et humaine.
L’état d’urgence sanitaire a été prolongé jusqu’au 16 février. Cet état d’urgence limite nos libertés en suscitant peur et psychose sous prétexte d’assurer notre sécurité. C’est une atteinte indéniable à nos libertés fondamentales constitutionnellement garanties sans pour autant constituer une réponse adéquate susceptible de mettre fin à l’épidémie. L’état d’urgence est dangereux car il permet au pouvoir exécutif de gouverner par ordonnances, par décrets. C’est un blanc seing accordé au gouvernement.
Le virus n’a pas de passeport ! comme l’a déclaré Emmanuel Macron. Les terroristes n’ont pas de papiers, mais nous, nous devons remplir des attestations pour avoir la permission de travailler, d’acheter de quoi nous nourrir ou d’aller chercher nos enfants à l’école !
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