Samuel Paty - 1973-2020
Sous prétexte d’être tolérant, pendant des années, on a toléré l’intolérable ! Par peur d’être diabolisés, de paraître racistes, xénophobes, islamophobes, nous avons été hypocrites, laxistes, lâches et nous avons fermé les yeux. Pendant des années, nous avons dans un silence assourdissant et coupable laissé la barbarie se propager en France, les actes sanglants se multiplier et les victimes seules et désarmées sombrer dans le désarroi et la souffrance.
Pendant des années, la France a eu pour idéal d’être une terre d’asile, une terre d’accueil pour les étrangers qui demandaient l’asile politique, pour ceux qui vivaient dans la misère. Non seulement la France les a accueillis, mais elle a respecté leurs différences, leurs croyances au nom de la tolérance. Le problème est que certains de ces immigrés venus d’ailleurs n’ont pas toujours la même tolérance. Non seulement certains veulent nous imposer leur mode de vie, leurs croyances mais certains qui se réclament de l’islamisme radical, massacrent ceux qui ne pensent pas comme eux. C’est ce que découvrent avec sidération et horreur nos compatriotes terriblement choqués par l’assassinat barbare du professeur Samuel Paty, victime d’une Fatwa parce qu’il enseignait la liberté d’expression. Il aura pourtant fallu beaucoup d’actes ignobles et sanglants pour que les yeux des Français se dessillent, que la presse réagisse avec virulence et que nos dirigeants affirment qu'ils vont s'attaquer au problème. Force est de constater que nous sommes en guerre et qu’une guerre de civilisation telle que la dénonçait et l’annonçait Samuel Huntington, dès 1996 dans le choc des civilisations, est en train de se jouer. Nous sommes en guerre. Il faut avoir le courage de le dire.
Pourquoi le massacre du professeur et des enfants de l’école Ozar Hatorah à Toulouse n’a t-il pas fait réagir nos politiques ? Des enfants tués dans une cour d’école et une fillette de 8 ans tirée par les cheveux et abattue à bout portant, n’était-ce pas déjà un acte barbare indicible et inconcevable dans notre pays des droits de l’homme ? Pourquoi le meurtre d’un prêtre âgé, le père Hamel tué dans son église pendant la messe n’a t-il pas fait réagir ? N’était-ce-pas déjà un acte inhumain et barbare ? Pourquoi les massacres du Bataclan et de l’Hypercasher après le premier émoi, n’ont-ils pas fait réagir nos politiques ? Des gens qui assistaient à un concert au Bataclan et qui faisaient la fête à la terrasse des cafés ou qui faisaient leurs courses méritaient-ils d’être abattus comme des chiens le 13 novembre 2015 ? Les centaines de personnes fauchées sur la Promenade des Anglais par un camion-bélier parce qu’ils fêtaient le 14 juillet méritaient-ils de mourir ou d’être meurtris dans leur chair à tout jamais ? Les policiers Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider froidement abattus sous les yeux de leur petit garçon de 3 ans et demi, eux aussi victimes de cette guerre sanglante contre notre pays méritaient-ils de mourrir ainsi ? Pourquoi eux ? Parce que l Islam politique prend pour cible les symboles de notre république et de notre civilisation : les policiers, les profs, les prêtres, les Français qui font la fête, qui célèbrent le 14 juillet, jour de fête nationale. Faire la fête, boire de l‘alcool, écouter de la musique et s’exprimer librement est interdit par la Charia.
A la suite de la décapitation du professeur Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine, le chef de l’Etat et son gouvernement disent avoir saisi l’ampleur du problème, mais ils ont mis le temps.
Les fleurs, les cœurs, les bougies aux fenêtres ne suffisent plus. Il est révolu le temps des bisounours ! Les Français veulent des actes. Nous avons tous défendu le slogan « Touche pas à mon pote », nous avons toujours évité l’amalgame, la stigmatisation, mais à trop éviter de dire les choses, à trop être dans le déni, nous avons laissé un déni coupable s’installer et un état de fait perdurer. Qui ne dit mot consent !
Voici quelques pistes évidentes qui peuvent être envisagées, mais la liste est loin d’être exhaustive : Supprimer les subventions aux associations islamistes radicales car l’argent est le nerf de la guerre. Destituer de la nationalité française les auteurs de crimes de sang et d’actes de violence, reconduire à la frontière les délinquants clandestins en situation irrégulière en prenant des accords avec les pays dont ils sont originaires. (C’est bien sûr là où réside la difficulté car ils ne veulent pas récupérer ces délinquants).
Il faut bien sûr, en parallèle, tout faire pour intégrer les immigrés installés sur notre sol, désireux de s’intégrer car l’immigration ne doit pas être sauvage. L’immigration doit être intelligente et organisée. Par contre, empêcher les familles musulmanes pratiquantes d’acheter des produits halal est pure méchanceté et inutile. Les familles musulmanes ont parfaitement le droit de consommer ce qu’elles souhaitent dans la sphère privée de leur maison. Ils ont le droit de pratiquer leur religion. Cela ne cause de tort à personne. En quoi cela nous dérange-t-il ? Pourquoi ne pas interdire à ceux qui veulent manger Bio et Vegan de le faire ? C’est une mesure ridicule ! C’est vraiment pour dire que nos dirigeants font quelque chose…
Les Français veulent désormais des actes et des actes forts. De vraies mesures et non pas des mesures hypocrites qui ne servent à rien. Ils n’ont pas l’intention de se soumettre à l’Islamisme radical et de se laisser massacrer. Si l’Etat ne fait rien, les citoyens français vont basculer dans l’Islamophobie. Il est encore temps d’éviter que les Français ne se divisent et ne basculent dans les extrémismes.
Aujourd’hui, ulcérés et en colère, les Français sont déterminés à obtenir des actes !
Catherine Merveilleux
#samuelpaty, #jesuisprof, #islamismeradical, #conflansaintehonorine, #barbarie, #decapite, islamradical, #terrorisme, #islamophobie
Il s’appelait Samuel Paty. Il sortait du collège où il enseignait l’histoire. Il avait 47 ans. Il est mort, décapité pour avoir fait un cours sur la liberté d’expression et la liberté de la presse et pour avoir montré les caricatures du prophète Mahomet publiées par Charlie Hebdo avant le massacre perpétré au sein de sa rédaction, il y a 5 ans.
|