Si les prémisses de ce XXIème siècle semblaient donner raison au philosophe, auteur de La Condition humaine, à un moment où les extrémismes religieux enflammaient un monde en quête de spiritualité et de mysticisme, la pandémie du Covid 19 semble nous faire basculer dans une ère nouvelle, non pas spirituelle, mais virtuelle.
Nous vivons désormais dans un monde surréaliste, virtuel, déconnecté des relations humaines où il est interdit de se rencontrer, de se toucher, de s’embrasser, de danser, de voyager, de faire la fête. Notre vie se passe désormais derrière un écran : télétravail, achats en ligne par carte bancaire, conversations virtuelles, etc… Les théâtres, les cinémas sont interdits et il ne nous reste plus pour nous distraire, après le couvre feu, que les séries des plate-formes digitales comme Netflix ou Prime. Les restaurants sont diabolisés et fermés et les pauvres humains que nous sommes en sont réduits à commander leurs repas sur le net. Même les visites de musée et les défilés de modes se font de manière virtuelle. Les apéros avec les amis et les conférences de presse se font par zoom etc…
La monnaie est, elle aussi, devenue virtuelle. Cela permet l'introduction des Bitcoins qui sont des monnaies privées, spéculatives et virtuelles.
Les GAFA grâce au virus ont pris le pouvoir. Je suis un être humain et je revendique le droit d’avoir des contacts humains, d’embrasser ceux que j’aime, en vrai, et non sur les réseaux sociaux, sous
la surveillance de Big Brother, qui en bon dictateur, se veut maître du monde et s’arroge le droit de bannir ceux qui ont une pensée subversive ou non politiquement correcte.
Comment a-t-on pu en arriver là ? Comment accepte-t-on de jouer en tant que figurants dans ce mauvais film de science-fiction ? Comment des êtres humains doués de sens critique se sont-ils laissés museler, neutraliser et assigner à résidence, au point de ne quasiment plus vivre que dans un monde digital ? Tout simplement par la psychose car comme l’écrivit le grand Machiavel qui avait tout compris : « Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leur âme ».
Les discours alarmistes sur le terrorisme, la propagation du Covid, la montée de la violence et de la délinquance permettent par la peur et la psychose qu’elles engendrent l’adoption de mesures disproportionnées et liberticides comme les lois et décrets édictés grâce à la situation d’urgence sanitaire. Bref, ne nous laissons pas guider par la peur, elle est mauvaise conseillère et fausse notre jugement et notre esprit critique…
Catherine Merveilleux
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Cette inquiétude est réciproque. Nous aussi on s’inquiète pour eux…
Jérôme Salomon a déclaré cette semaine : « La crise sanitaire a révélé la vulnérabilité psychique de nombreux Français » et a ajouté « On observe une augmentation importante des états dépressifs.
« J’aime mieux attraper le Covid_19 dans un pays libre qu’y échapper dans un pays totalitaire ! » a déclaré le philosophe André Comte-Sponville. Or, notre gouvernement nous impose des lois liberticides qui sacrifient les nouvelles générations sous le fallacieux prétexte de protéger les personnes vulnérables et les personnes âgées.
Les commerçants, les restaurateurs de France n’ont jamais demandé à être des assistés. Ils ne demandent qu’à travailler, qu’à créer, qu’à bâtir et on leur demande de devenir des assistés. C’est une tragédie économique, psychologique et humaine.
L’état d’urgence sanitaire a été prolongé jusqu’au 16 février. Cet état d’urgence limite nos libertés en suscitant peur et psychose sous prétexte d’assurer notre sécurité. C’est une atteinte indéniable à nos libertés fondamentales constitutionnellement garanties sans pour autant constituer une réponse adéquate susceptible de mettre fin à l’épidémie. L’état d’urgence est dangereux car il permet au pouvoir exécutif de gouverner par ordonnances, par décrets. C’est un blanc seing accordé au gouvernement.
Le virus n’a pas de passeport ! comme l’a déclaré Emmanuel Macron. Les terroristes n’ont pas de papiers, mais nous, nous devons remplir des attestations pour avoir la permission de travailler, d’acheter de quoi nous nourrir ou d’aller chercher nos enfants à l’école !
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