Cette lettre est adressée aux membres du gouvernement et aux parlementaires et dénonce un délitement qui sous le fallacieux prétexte d’un antiracisme, crée en
France du chaos, de la violence, un mal-être général et une haine entre les communautés. Sous prétexte d’ouverture d’esprit, de fraternité, de non-racisme, certains prônent un laxisme et une
tolérance coupables, en ne sanctionnant pas les auteurs de faits graves, comme la mort du professeurs Samuel Paty, décapité ou celle de la policière de Ramboullet Stéphanie Monfermé égorgée devant
son commissariat. Dans cette lettre, les militaires écrivent :«Alors que des Français en gilets jaunes expriment leur désespoir, des individus infiltrés et encagoulés saccagent des commerces et
menacent les forces de l’ordre, pourtant ces dernières ne font qu’appliquer les directives, parfois contradictoires données par les gouvernants. Aujourd’hui, la violence s’accroît, aussi ceux qui
nous gouvernent doivent impérativement trouver le courage nécessaire à l’éradication de ces dangers. Pour cela, il suffit souvent d’appliquer sans faiblesse des lois qui existent déjà.»
«L’heure est grave, le travail est colossal.» ajoutent-ils. «Par contre si rien n’est entrepris, le laxisme continuera à se répandre inexorablement dans la société, provoquant au final une explosion
et l’intervention de nos camarade d’active dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national. On le voit, il
n’est plus temps de tergiverser sinon demain la guerre civile mettra un terme à ce chaos croissant, et les morts, dont vous porterez la responsabilité, se compteront par milliers.» écrivent-ils et
ils ajoutent : «Il ne peut et ne doit exister aucune ville, aucun quartier où les lois de la République ne s’appliquent pas.»
En aucun cas, les militaires de la Tribune Place d’armes ne menacent de faire un putsch. Il suffit de savoir lire. Ils expliquent que la France est à la veille d’une guerre civile et que si les responsables politiques ne prennent pas les mesures qui s’imposent, ils devront avoir recours à l’armée, ce que celle-ci ne désire nullement. Il ne s’agit nullement d’un appel à l’insurrection mais d’un constat accablant de l’état de notre pays.
Dix-huit militaires en activités signataires de cette tribune controversée publiée dans Valeurs actuelles et dénonçant le délitement de la France vont passer devant le conseil militaire et recevront des sanctions disciplinaires militaires a annoncé le chef d’état-major des armées. Les sanctions seront plus fortes pour les plus gradés. Certains risquent la radiation donc la mise à la retraite d’office. La ministre des armées, quant elle, rappelle les militaires à leur devoir de réserve et n’a pas de mots assez forts pour condamner le simple fait qu’ils se soient exprimés.
Bien sûr, les militaires sont soumis à un devoir de réserve, mais si vraiment la France est au bord de la guerre civile, n’est-il pas de leur devoir d’alerter nos politiques et de prévenir leur concitoyens ? Pour ma part, je ne considère pas qu’ils menacent de faire un coup d’état ou un putsch, je considère au contraire qu’ils préfèreraient que la paix civile revienne grâce à l’observation des lois. Je ne condamne pas leur action. Par contre, je condamne fermement la récupération politique qu’en font Marine Lepen et le gouvernement.
Quant à savoir si nous sommes à la veille d’une guerre civile en France ? Je pense que la question ne se pose même pas. Il suffit de regarder les actualités télévisées tous les jours où des actes d’une violence inouïe sont chaque jour perpétrés. Diaboliser les signataires de cette tribune et leur faire dire ce qu’ils n’ont pas dit est scandaleux !
Catherine Merveilleux
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Depuis les restrictions sanitaires liées à la pandémie du Covid, tout plaisir nous est interdit. Il est interdit de danser, de faire la fête, de voir ses amis. Nous vivons une véritable prohibition. Tout ce qui est de l’ordre du divertissement est considéré comme non essentiel. Cette réflexion me fait penser à ce que Montaigne et Pascal écrivaient à propos du divertissement qu’ils jugeaient futile et superfétatoire.
« Le XXIème siècle sera spirituel ou ne sera pas ! » aurait déclaré dans une citation considérée comme apocryphe André Malraux, romancier, combattant, résistant et ministre de la Culture sous Charles de Gaulle. Quoiqu’il en soit, sa prophétie qui paraissait sur le point se réaliser semble s’avérer obsolète.
Cette inquiétude est réciproque. Nous aussi on s’inquiète pour eux…
Jérôme Salomon a déclaré cette semaine : « La crise sanitaire a révélé la vulnérabilité psychique de nombreux Français » et a ajouté « On observe une augmentation importante des états dépressifs.
« J’aime mieux attraper le Covid_19 dans un pays libre qu’y échapper dans un pays totalitaire ! » a déclaré le philosophe André Comte-Sponville. Or, notre gouvernement nous impose des lois liberticides qui sacrifient les nouvelles générations sous le fallacieux prétexte de protéger les personnes vulnérables et les personnes âgées.
Les commerçants, les restaurateurs de France n’ont jamais demandé à être des assistés. Ils ne demandent qu’à travailler, qu’à créer, qu’à bâtir et on leur demande de devenir des assistés. C’est une tragédie économique, psychologique et humaine.
L’état d’urgence sanitaire a été prolongé jusqu’au 16 février. Cet état d’urgence limite nos libertés en suscitant peur et psychose sous prétexte d’assurer notre sécurité. C’est une atteinte indéniable à nos libertés fondamentales constitutionnellement garanties sans pour autant constituer une réponse adéquate susceptible de mettre fin à l’épidémie. L’état d’urgence est dangereux car il permet au pouvoir exécutif de gouverner par ordonnances, par décrets. C’est un blanc seing accordé au gouvernement.
Le virus n’a pas de passeport ! comme l’a déclaré Emmanuel Macron. Les terroristes n’ont pas de papiers, mais nous, nous devons remplir des attestations pour avoir la permission de travailler, d’acheter de quoi nous nourrir ou d’aller chercher nos enfants à l’école !
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